« C’était en un temps
Où le journal était un carré blanc
Tenu par la mère au-dessus du seuil
Où jouait l’enfant.
Et dehors il y avait
Tous les nids et tous les champs,
Tous les chemins creux au-dessous du vent
Avec leurs trous pour les serpents.
Il y en avait les ronces des champs.
Et en soi une force
Plus forte que le vent,
Pour plus tard et pour maintenant,
Contre tout ce qu’il faudrait,
Certainement.»
Guillevic